1. |
Soif
00:48
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2. |
Tous les corps
03:23
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Les vêtements sur mes épaules
C’est comme mon âme qui fend le vent
L’aiguille des talons m’sert de dard
Le vernis craque sous les dents
Ni père ni mère ni Dieu ni maître
J’ai échappé la pomme d’Adam
Déchiré c’que disait hier
Le miroir est un accident
Je ne veux plus
De ma langue de cuir
De monnaie pour les divertir
Je veux la gloire de tous les corps
Tatouer l’espoir en fard sur mes joues
Je veux la gloire de tous les corps
Allumer le soir, un phare sur mes jours
Et que l’on danse dans un cortège de damnés
Et que l’on danse dans un cortège de damnés
Les yeux sombres comme un matin d’hiver
Née entre les dunes de l’Afrique
À qui tous les diamants de la Terre
N’peuvent rien contre leurs regards obliques
Tu ne veux plus te taire et applaudir
Payer de ton avenir
Tu veux la gloire de tous les corps
Tatouer l’espoir en fard sur tes joues
Tu veux la gloire de tous les corps
Diluer le chlore dans le vin des bourges
Et que l’on danse dans un cortège de damnés
Et que l’on danse dans un cortège de damnés
Et que l’on danse dans un cortège libéré
Et que l’on danse dans un cortège libéré
Tous les corps
Tous les corps
Tous les corps
Tous les corps
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3. |
L’azur (ft. Samito)
04:03
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J’en ai assez
Les nerfs à cran,
La sueur sur les deux tempes
Des heures louées
Le nez sur l’écran pour me détendre
J’en ai assez
De sourire faux
Le temps de ma sentence
De m’effacer
De compter les secondes jusqu’aux vacances
Pour un soleil mauve qui plombe
Abandonner nos vies à l’ombre
Pour un soleil mauve qui plombe
Abandonner nos vies à l’ombre
L’azur crie nos noms
(Sous les palmiers, suis mes pas)
Faut répondre
(Sous les palmiers)
Quand l’azur crie nos noms
(Sous les palmiers, suis mes pas)
Faut répondre
(Sous les palmiers)
J’en ai assez
Entassés sur le quai d’la ligne orange
La gueule toujours pressée
D’se plaindre sans rien faire pour que ça change
Je vais laisser sonner
Arrêter de répondre à la peur
Pour des kilomètres en bandoulière
Ton sourire et la Terre qui tourne ailleurs
Pour un soleil mauve qui plombe
Abandonner nos vies à l’ombre
Pour un soleil mauve qui plombe
Abandonner nos vies à l’ombre
L’azur crie nos noms
(Sous les palmiers, suis mes pas)
Faut répondre
(Sous les palmiers)
Quand l’azur crie nos noms
(Sous les palmiers, suis mes pas)
Faut répondre
(Sous les palmiers)
Faut répondre
Sur la route du fjord
On se retrouve à l’aurore
Se casser à des vagues
Des vagues souvenirs de nous, malheureux
Pour un soleil mauve qui plombe
Abandonner nos vies à l’ombre
Pour un soleil mauve qui plombe
Abandonner nos vies à l’ombre
L’azur crie nos noms
(Sous les palmiers, suis mes pas)
Faut répondre
(Sous les palmiers)
Quand l’azur crie nos noms
(Sous les palmiers, suis mes pas)
Faut répondre
(Sous les palmiers)
L’azur crie nos noms
(Sous les palmiers, suis mes pas)
Faut répondre
(Sous les palmiers)
Quand l’azur crie nos noms
(Sous les palmiers, suis mes pas)
Faut répondre
(Sous les palmiers)
Faut répondre
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4. |
Vanille
02:56
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Quand t’as débarqué dans la nuit froide
Escaladant la brique de ma façade
T’as remis le sucre dans ma vie fade
Moi qui pensais n’plus pouvoir aimer
Jamais j’aurais pensé
Je leur ai tous dit que j’avais besoin de personne
Mais j’ai menti je sais ça ferait pleurer Simone
Tu m’fais l’effet
D’une pluie chaude en juillet
C’est fou
À chaque rendez-vous
Tu fais tourner toutes les filles
Comme une glace à la vanille
Mais tu fonds sous mes pupilles
Comme une glace à la vanille
Toute, toute, la ville
Toute, rêve de toi
Toute, toute, la ville
Toute, que de ça
Comment veux-tu que moi je résiste à tes avances ?
Tu t’approches chaque fois en me laissant assez d'espace
T’as jamais peur de dire ce que tu penses
Et t’entends c’que j’dis dans mes silences
Tu m’fais l’effet
D’une pluie chaude en juillet
C’est fou…
À chaque rendez-vous
Tu fais tourner toutes les filles
Comme une glace à la vanille
Mais tu fonds sous mes pupilles
Comme une glace à la vanille
(Fais-moi goûter)
Toute, toute, la ville
Toute, rêve de toi
Toute, toute, la ville
Toute, que de ça
Les années seront des secondes à tes côtés
J’aime sur mes lèvres la saveur que t’as laissée
Tu fais tourner toutes les filles
Toute, toute, la ville
Toute, rêve de toi
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5. |
MHM
00:18
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6. |
Nirvana
03:00
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Ta vie file entre les dalles du trottoir
Elles engloutissent tes drames et tes espoirs
Te reste le brouillard épais des corps
Qui te talonnent dans tous tes décors
J’te vois perchée penchée tatouée de soirs
Et nue
Tu vends le nirvana pour vingt dollars pas plus
Montes dans les chars quand le monde y dort
Fuck it, t’es down pour le moneytalk
Et toi quand tu fais tes squats
Lui il t’attend dans le squat
Les crocs serrés, les mains moites
Sinon la colère laisse des marques
Hochelaga
C’est à peine si tu les vois
Tes 20 dollars
Tes 20 dollars
Tes 20 dollars
Tes 20 dollars
Nu-pieds au mois de mai
Sur tes aiguilles en février
Clope après clope pour l’étouffer
Ton envie folle de t’évader
Smiling for them tourists it’s a lie
Shaking it for them tourists ‘til they dive
Entre tes jambes le magot
Les mains sur tes cuisses d’ado
Et toi quand tu fais tes squats
Lui il t’attend dans le squat
Les crocs serrés les mains moites
Sinon la colère laisse des marques sur toi
Hochelaga
Les vrais rêves ne se trouvent pas
À 20 dollars
À 20 dollars
À 20 dollars
À 20 dollars
Léopard
Sur ton léotard
T’es le léopard
Cours, va savoir
Que tu vaux plus que vingt dollars dehors
Léopard
Sur ton léotard
T’es le léopard
Tu dis :
« T’es qui pour croire que j’veux ton take sur mes déboires dehors ? T’es qui pour croire que t’es la reine ? J’veux rien savoir. »
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7. |
Amer amour
02:56
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Tant mieux si tu peux dormir tranquille
Même allongé à ses côtés
Si tes rêves arrivent à m’oublier
Comme ta promesse de la quitter
Amer l’amour de toi
Le lit est froid quand tu t’en vas
J’ai donné déjà
Tout donné déjà
Y’a plus personne qui pardonne
Quand tu sonnes à ma porte
Y’est trop tard
Trop tard
Pour se conter des histoires
J’échangerais pas ma place avec elle
À deviner la prochaine nouvelle
Celle qui sait que tu sais pas t’arrêter
De faire défiler les dentelles
Amer l’amour de toi
Le lit est froid quand tu t’en vas
J’ai donné déjà
Tout donné déjà
Y’a plus personne qui pardonne
Quand tu sonnes à ma porte
Y’est trop tard
Trop tard
Pour se conter des histoires
Tu peux frôler les corridors
Sans réveiller la honte qui dort
La vie me crie : il est trop tard
Pour se conter des histoires
Tu peux frôler les corridors
Sans réveiller la honte qui dort
La vie me crie : il est trop tard
Pour se conter des histoires
Conter des histoires, se conter des histoires
Conter des histoires, des histoires
Léopard
Sur ton léotard T’es le léopard Tu dis :
« T’es qui pour croire que j’veux ton take sur mes déboires dehors ? T’es qui pour croire que t’es la reine ? J’veux rien savoir. »
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8. |
Feu(x)
02:31
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Ils ont mis le feu au ciel ce soir
Toi tu baisses les yeux
Quand je te regarde
Et je te regarde
J’ai perdu les frissons longs
Le cœur brouillon, la chaleur dans le ventre
Quand tu me regardes
Je l’attends mais elle tarde
Tu me dis que toi aussi
L’amour s’enfuit par l’horizon
Et que courir ça t’épuise
Je voudrais que tu dises
Qu’il retrouvera la maison
Et qu’il nous verra vieillir
Que tu montes remettre ton pantalon
Là tu fumes des cigarettes dans la cuisine
Pendant que je découpe mon spleen
Au couteau
Entre deux verres d’eau
J’ai beau dévisager fort
À mort, l’ultime
Je vois plus rien, derrière mes mains
La fin, je la devine
Tu me dis que tu l’as vu
L’amour s’enfuir par l’horizon
Mais que courir ça t’épuise
Que tu trouves pas ton pantalon
Moi je voudrais que tu dises
Que l’amour retrouvera la maison
Et qu’il nous verra vieillir
Mais je sais, on a brûlé la maison
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9. |
Reste
02:58
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Si tu pars, pars tout de suite
Mais si tu restes, reste, fais vite
Ton choix, je la vois en orbite
Dans tes yeux qui m’évitent
Reste
Ou laisse tomber les politesses
Seulement si tu le sens tu restes
Laisse tomber les politesses
Si tu pars, pars tout de suite
Si ton bateau s’effrite
Même si j’ai le corps qui s’agite
Et le cœur qui milite
(Pour que tu)
Reste
Ou laisse tomber les politesses
Seulement si tu le sens tu restes
Laisse tomber les politesses
Pas pour moi, pas pour l’or
autour des doigts
Les traits sur mes joues
La peur de décevoir
L’enfant qui s’endort entre nous
(Ne reste)
Pas pour moi, pas pour l’or
autour des doigts
Les traits sur mes joues
Mais parce que tu crois encore
Qu’on pourra faire la route debout
Seulement si tu le sens tu restes
Ou laisse tomber les politesses
Seulement si tu le sens tu restes
Laisse tomber les politesses
Si tu y crois encore
Seulement si tu le sens tu restes
Laisse tomber les politesses
Si tu y crois encore
Seulement si tu le sens tu restes
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10. |
Le résultat
03:36
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T’es une parenthèse
Bordée d’heures déchirées
T’es une hypothèse
Que j’ai laissé supposer
La parabole, la courbe de nos corps
Plantée entre pulsions et remords
Jamais j’oublierai
Qu’on s’est aimé
Je n’oublierai pas
Jamais j’oublierai
Qu’on s’est aimé
C’est le résultat
De tes mains sur moi
(De tes mains, de tes mains sur moi)
De tes mains sur moi
(De tes mains, de tes mains sur moi)
T’es une équation
De gestes non-calculés
T’es la fraction
De mon amour divisé
La question, celle que j’aurais dû laisser suspendue
Changer, partir, et tout laisser
Rester brave sans le quitter
Jamais j’oublierai
Qu’on s’est aimé
Je n’oublierai pas
Jamais j’oublierai
Qu’on s’est aimé
C’est le résultat
Changer, partir, et tout laisser
Rester brave sans le quitter
Changer, partir, et tout laisser
Rester brave sans le quitter
Changer, partir, et tout laisser
Rester brave sans le quitter
Rester brave sans le quitter
Mais sans t’oublier
De tes mains sur moi
(De tes mains, de tes mains sur moi)
De tes mains sur moi
(De tes mains, de tes mains sur moi)
Changer, partir, et tout laisser
Rester brave sans le quitter
Rester brave sans le quitter
Mais sans t’oublier
Jamais j’oublierai
Qu’on s’est aimé
Je n’oublierai pas
Jamais j’oublierai
Qu’on s’est aimé
C’est le résultat
De tes mains sur moi
(De tes mains, de tes mains sur moi)
De tes mains sur moi
(De tes mains, de tes mains sur moi)
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11. |
1
00:37
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12. |
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Mes tendresses te sondent
Une lueur le long de ta peau
Mes ondes sont longues
Et captent les silences dans tes mots
Rien de perfide dans tes battements de cils
Juste un jeu
Là j’te retiens, mais pars et reviens
Quand tu veux
Notre jardin fleurira encore
Même si tu retournes la voir
Notre jardin fleurira encore
Même si tu retournes la voir
Si tu gardes le meilleur pour moi
Si tu gardes le meilleur pour moi
Je garde le meilleur pour toi
Juste le meilleur
Le nez enfoui dans son arôme
Le sable tombe j’peux y passer des heures
J’ai besoin d’eau faut qu’on m’arrose
Poussent les fleurs
Mon coeur s’emballe dans ses battements d’ailes
J’ai trop aimé j’ai peur que l’effet meure
Je fais pas le poids devant l’éphémère
Fruit de la passion, j’suis en hibernation
Visage de glace te laisse sidéré
De toute mon âme, je crie « libéré »
On traîne nos peines sur combien de kilomètres ?
Des fois je mens
Mais dire c’est honnête
Enfouis sous la neige
Voir notre jardin renaître
Notre jardin fleurira encore
Même si tu retournes la voir
Notre jardin fleurira encore
Même si tu retournes la voir
Si tu gardes le meilleur pour moi
Si tu gardes le meilleur pour moi
Je garde le meilleur pour toi
Juste le meilleur
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13. |
Rien promis
03:45
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C’est vrai, tu m’as rien promis
J’ai tout imaginé seule
Ton cœur est une absence
Je ne m’habitue pas
À tenter de t’attendre
Pour un jour enfin t’atteindre
Tu m’enlèves les matins
Du bout des lèvres
C’est vrai, tu m’as rien promis
J’ai tout imaginé seule
Des mots tendres dans un lit
Et le jour, le jour dans la nuit
J’ai tout imaginé seule
J’ai essayé ailleurs
Ils portent tous ton odeur
Des visages à l’envers
Dans le désert des volières
Nos vertiges, plus qu’hier
Restent avec moi
Reste, reste avec moi
Je sais tu m’as rien promis
J’ai tout imaginé seule
C’est vrai, tu m’as rien promis
J’ai tout imaginé seule
Des mots tendres dans un lit
Et le jour, le jour dans la nuit
J’ai tout imaginé seule
Seule
Seule
Seule
Seule
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